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il y a 1 an
Chapitre 113 : Retour chez soi
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Que proposez-vous ? répondit ma maîtresse ?
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J’ai bien aimé quand il avait les orties en classe. Je le voudrais bien du mercredi midi au soir. Le titiller en public, j’avoue que cela m’excite.
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Pas de soucis ! Et toi Valérie ?
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Je ne sais pas. Occasionnellement. J’aimerai l’avoir durant des soirées, où il serait comme Ben, un esclave entièrement soumis à mes ordres. Je n’ai toujours pas profité de ses dons pour le cunnilingus.
Maîtresse Diane et Lydia émirent un soupir similaire en même temps. J’avais du succès. Je remuai ma langue vers elles leur rappelant à mon bon souvenir.
- Tu veux une autre tétine ? me menaça Lady Christine.
J’arrêtai immédiatement, au grand désarroi de Lassie.
- Es-tu d’accord avec cette organisation ? me demanda finalement Ladyscar maintenant que tout avait été figé.
Oui, me hurla Lassie. Oui, oui et encore oui, me bourrait elle le crâne, m’empêchant de réfléchir. Que pouvais-je dire d’autre ? Je les avais laissé me mettre en cage.
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Oui, finis-je par répondre sans intégrer toute la joie de Lassie.
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Six femmes se battent pour te partager et tu ne trouves que ce petit oui à répondre, me critiqua Valérie. Cela manque d’hommes, c’est cela qui te frustre ?
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Même pas accompagné d’une Maîtresse, un peu respectueux, rajouta Nathalie dont je voyais poindre la punition évoquée.
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Cela suffira pour ce weekend, décida Ladyscar. En ce qui nous concerne en tout cas. Je crois que ton voisin t’attend.
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Non, réagis-je. Pourquoi lui ?
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Parce que tu préfères peut-être Lucifer ou Basile ?
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Vous l’aviez prévu avant, maîtresse, la contredis-je.
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Prémonition, se moqua-t-elle de moi.
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On te raccompagne, dit Nathalie. On ne voudrait pas que tu fasses de mauvaises rencontres. Il semblerait que tu n’en as donc pas fini pour ce weekend, veinard.
Ladyscar voulut me bander les yeux, même si je savais où Maitresse Diane habitait, même s’il faisait nuit. J’eus voulu qu’elles missent sur mes épaules, un manteau ou n’importe quel autre vêtement, autant pour le froid que pour la discrétion. Mais quand elles s’habillèrent, toutes les trois, je n’eus le droit à rien. Elles me guidèrent jusqu’à la voiture de ma maîtresse. Je montai derrière avec Nathalie, qui ne put s’empêcher de me presser les couilles durant tout le trajet, cherchant à me gonfler la queue dans ce carcan douloureux.
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J’espère que ton voisin va en profiter. Tu penses que je devrais lui conseiller de te faire vraiment mal. Plus tu feras de choses pour lui, s’il te fait pleurer, m’assaisonna-t-elle en me les contraignant particulièrement fort.
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Faites comme vous le désirez, Maîtresse, répondis-je.
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Comme toujours, évidemment.
Elle cherchait à m’énerver, me faire craquer, me faire rebeller, me faire punir. Je crois qu’elle n’avait vraiment pas apprécié que je ne veuille la choisir pour mon dépucelage. Nos jeux seront agrémentés de cette rancœur. Lassie en jouissait d’avance. Elle la titillerait probablement un peu plus, si je la laissai faire
Une chose à la fois. Ce qui m’importait maintenant, c’était juste la rentrée dans mon appartement. Même s’il faisait nuit, il restait tôt et la rue était bien mieux éclairée que le parking de la boîte de nuit. Pire que vendredi soir, j’allai traverser mon quartier nu. Pire, dans ce sens, si j’étais suivi du regard, cela ne se terminera pas dans la voiture de Ladyscar, mais dans mon propre logement, devant la porte de mon immeuble.
Je n‘allumerai pas la lumière, on ne connaîtra pas ainsi ma chambre. Cela méprendra ceux qui chercheraient à savoir plus précisément où je vis. La voiture s’’arrêta. Je me rendis compte que je ne savais pas à quelle distance nous étions. Je me laissai guider, encerclé par les deux étudiantes, tandis que j’entendais les talons aiguilles de Ladyscar, frapper le bitume devant moi.
Vingt mètres. J’en déduisis où elle s’était arrêtée, quand j’entendis la clé ouvrir la porte de l’immeuble, puis celle de mon appartement juste derrière. J’entendis l’interrupteur de la lumière. Les trois femmes ne comptaient pas me laisser seul. Arrivé chez moi, elles m’enlevèrent mon bandeau. J’avais les pieds douloureux, infligés par quelques cailloux acérés dans les plantes de ces derniers, provenant des quelques pas exécutés devant chez Maîtresse Diane ainsi que devant chez moi.
A peine rentré, Valérie ôta son manteau sans gêne devant le rideau transparent qui la séparait de la rue, dévoilant à nouveau sexe et poitrine devant moi. Malgré la fatigue et tout ce que j’avais pu avaler, je sentis ma verge la récompenser de tant de beauté et d’impudeur, en emplissant la cage. Mon dieu, c’est ce que j’aurai à nouveau à supporter à chaque excitation. N’était-ce déjà pas une partie de régression qui s’opérait si mon sexe décidait, devant le prolongement de cet enfermement, à ne plus réagir à la beauté sensuelle et féminine lorsqu’il s’y trouverait confronté.
Quand elle vit mon sexe ainsi à l’étroit, appréciant mon impuissance, elle se colla contre moi. Les bandes éparses de ce qui aurait pu être une jupette si elles n’étaient pas si fines et peu nombreuses, chatouillaient mes cuisses. Sa main me caressa les fesses par des mouvements circulaires.
- Tu regrettes déjà de ne pas m’avoir choisie ? me demanda-t-elle. Il y avait vraiment des tas de trucs sexuels que je voulais faire avec toi, mais si tu préfères le cuir rugueux de l’animal à la douceur de ma peau, que puis-je y faire ? A part me masturber, nue, dans mes draps de soie en pensant à toi.
La salope ! Elle avait son Sébastien et ne trouvait rien de mieux à me mettre ces pensées en tête. Repliée sur elle-même, ma verge m’élançait en son centre, cherchant à se redresser. Elle mouilla son doigt de sa salive et l’appliqua sur mon gland, entre les barreaux.
- Je ne sais pas si tu regrettes, mais lui regrette déjà, poursuivit-elle.
Nathalie ne voulait pas être en reste, comme à chaque fois que Valérie me collait de trop près. Elle était jalouse. Gourmande à nouveau de mes couilles, elle les prit, avec juste la dureté nécessaire pour prolonger mes tourments. Elle les faisait rouler maintenant dans sa main, comme des dés que l’on chaufferait, attirant la chance, une sorte de porte-bonheur.
De temps en temps, appuyant un peu plus fort, elle rappelait à ma raison le pauvre être que j’étais devenu, soumis à toutes ces femmes.
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Ton voisin doit venir d’ici une demi-heure, dit Ladyscar. Nous resterons avec toi jusque-là.
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Vous avez trouvé le moyen de me débarrasser de lui ? demandai-je en repensant au chantage.
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Non. Il craignait que tu ne veuilles pas lui ouvrir.
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Vous allez l’autoriser lui aussi à profiter de moi ?
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Bien sûr ! Tu ne va pas te contenter de femmes ou mensuellement des hommes de Diane. En plus ce ne sont pas des maîtres, mais juste des soumis ou des libertins. Il te faut une poigne bien serrée pour te contrôler.
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Quand aura-t-il droit ? demandai-je en repensant à mon emploi du temps déjà bien chargé.
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Nous allons convenir du dimanche soir jusqu’à deux heures du matin. Cela te va ?
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Non, Maîtresse.
Ce n’est pas suffisant, me hurlait Lassie alors que je voulais encore convaincre Ladyscar que je n’étais pas intéressé par les hommes, les maîtres ou les relations homosexuelles. Peine perdue, je n’arrivais déjà plus à m’en convaincre. J’étais bi ? Alors quoi lui dire ?
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Mais tu m’obéiras et tu subiras, n’est-ce pas ?
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Nous n’avons pas discuté de ce que j’aimais et de ce que je ne voulais pas renouveler, lui rappelai-je
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Ta phobie, je la connais. Il n’y a rien d’autre que je n’ai besoin de savoir pour l’instant. Tu as été obéissant, très obéissant. Je sais ce que tu apprécies plus ou moins, mais rien ne te révulse vraiment, pour l’instant. Donc nous allons pouvoir poursuivre, termina-t-elle avec un sourire.
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Mais…
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Mais c’est moi ta maitresse et c’est moi qui décide, dit-elle en secouant la clé de ma cage de chasteté.
Je voulais réagir, mais je repensais au problème qu’elle avait eu avec mon prédécesseur. Parfois, je me demandais si c’était moi ou elle et sa capacité à dominer qu’elle testait.
- Oui, Maîtresse. Je vous fais totalement confiance, dis-je en baissant la tête alors que des gestes de plus en plus sensuels me firent me trémousser entre ces deux corps juvéniles, collés à moi.
Ladyscar me sourit. Je reconnaissais ce sourire. Ce n’était pas la première fois qu’il ornait son visage. J’eus le droit de le recevoir comme reconnaissances, félicitations, presque, si j’osais, en remerciement. J’étais à ses ordres, dévoué à ses envies, asservi à ses besoins. Les miens n’en seraient comblés qu’en passant par là. Je m’attendais à quelques remarques de Lassie, mais elle s’était tue, médusée par l’acceptation de ma nouvelle philosophie.
La sonnette de ma porte brisa cet enchantement.
lassie va enfin être libéré de ces chaines | |
Pas vraiment. il y aura toujours la cage pour lui rappeler son statue de soumis. Il aurait dû négocier au moins un jour de liberté par mois. Dommage pour lui.... Ou pas. pour un soumis aussi maso que lui. | |
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